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bonjour, depuis que je suis toute petite j'aime la terre, les animaux, la nature.
prot? ?ger c'est apprendre à
Par Anonyme, le 06.04.2017
bonjour, à toi
je sais,ça fait pas mal de temps,on est occupées les unes-les autres.
avec une pensée amic
Par marieandree, le 10.01.2017
merci http://farfade tte81@gmail.co m.centerblog.n et
Par Anonyme, le 06.12.2016
très belle expression écrite. j'aime beaucoup celle-ci, mais je sents comme une grande tristesse, je me trompe
Par claudine.devader@h, le 05.10.2016
c'est magnifique. je vous remercie de tout coeur. portez vous bien. et continuée à nous faire rêver. amitié. d
Par claudine.devader@h, le 05.10.2016
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Date de création : 13.12.2008
Dernière mise à jour :
04.10.2015
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- 1 H EN MOINS A DORMIR
A PARTIR DU 31/03/2013


A
MINUIT
IL SERA 1HEURE DU MATIN





Samouraï
Samouraï (侍, Samurai?, ou 武士 Bushi) est un mot japonais désignant un membre de la classe guerrière qui a dirigé le Japon féodal durant près de 700 ans.
Né peut-être vers -100, Spartacus est un Thrace de naissance libre, originaire de la tribu des Maides, installée dans le sud-ouest du pays, près du fleuve Strymon, selon Plutarque. S'il n'a pas été rebaptisé par un maître, Spartacus peut correspondre à un patronyme thrace — « Spartokos » ou « Spardokos » — et au nom d'une ville de Thrace, Spartakos. La plupart des sources antiques en font un berger, mais certaines affirment qu'il appartient à une famille princière[1]. Appien indique sans grande précision que Spartacus a servi dans une légion, qu'il a été fait prisonnier de guerre et vendu. On peut supposer qu'il ait été enrôlé de force comme auxiliaire, et qu'il soit un déserteur repris et vendu comme gladiateur. Conduit à Rome pour y être vendu, il est acheté par un laniste (marchand de gladiateurs), Caius Cornelius Lentulus Vatia, qui l'emmène dans son école à Capoue[1]. D'après Plutarque, sa femme, qui est « originaire de la même tribu que lui » et « devineresse sujette aux transports dionysiaques », l'accompagne à Rome quand il est vendu, puis durant la révolte[2]. Prêtresse de Dionysos, elle peut avoir joué un rôle important dans le déclenchement de la révolte[1].
À l'été -73, 200 gladiateurs de l'école de Lentulus Battiatus complotent pour retrouver la liberté, mais sont dénoncés. Prenant les devants, entre 70[3] et 78 gladiateurs[4] réussissent à s'évader. Après s'être emparés de chariots transportant un stock d'armes destinées à une autre école de Capoue, ils ne se dispersent pas, mais traversent la Campanie en direction de la baie de Naples, où ils sont rejoints par de nombreux travailleurs agricoles — esclaves fugitifs et hommes libres — des latifundia et se réfugient sur les pentes du Vésuve. Trois hommes sont élus chefs, Spartacus, Crixus et Œnomaüs[5]. Spartacus, un parmularius (ou thrace) ou un mirmillon selon Florus[6], et ses compagnons parviennent à vaincre les quelques gardes régionales envoyées par la ville de Capoue et complètent ainsi une réserve d'armes. Pour subvenir à ses besoins, la petite armée commence à organiser des razzias sur les exploitations agricoles de la Campanie. Spartacus ne cesse alors d'attirer non seulement des esclaves, mais aussi des petits paysans et des bergers, formant ainsi une armée.
L'armée servile bat alors 3 000 Romains commandés par le prêteur Gaius Claudius Glaber grâce à une ruse de Spartacus. En effet, ce dernier fuit le volcan où il était assiégé par un versant raide et avec l'aide d'échelles faites à partir de sarments de vignes. Dès lors, Spartacus rassemble de plus en plus de combattants. Rome ne le reconnaît pas en tant que menace et le sous-estime grandement. Les autorités romaines n'envoient d'abord que deux nouvelles légions dirigées par deux autres prêteurs pour stopper sa rébellion. Les autres légions sont accaparées par la révolte de Sertorius en Hispanie et le conflit contre Mithridate VI en Orient.